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Jurisprudence

🇧🇯Bénin
Ohadata J-10-07
Ordonnance de référé n° 80/02 - 1ère CCIV, Rôle Général N° 382/01 - Ramatou OMOLOLA ADENIYI (Me ADISS SALAMI) c/ Seïdou LATIF (Me ALABI) Tribunal de Première Instance de Cotonou Ordonnance du 25/04/2002

Saisie - Apprehension Directe Par Le Creancier De Deniers Se Trouvant Dans Le Sac De Sa Pretendue Debitrice - Saisie Non Valable - Voie De Fait
Articles 54 Aupsrve Et Suivants

Constitue une voie de fait et non une saisie valable le fait pour le créancier de s'emparer, pour se faire payer de sa créance, de fonds se trouvant dans le sac de sa prétendue débitrice, sans le consentement de cette dernière, au motif que celle-ci se serait portée garante de la dette d'une tierce personne à son endroit et alors que cette garantie, qui n'est établie, ne peut justifier un tel comportement même si elle s'était avérée exacte.

Actualité récente

Appel à communications : Intelligence artificielle et l'Afrique

L'École Régionale Supérieure de la Magistrature (ERSUMA) de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA), organise du 22 au 25 octobre 2025 à Cotonou (Bénin), un colloque international sur le thème « L'intelligence artificielle et l'Afrique : regards croisés des juristes, politologues, économistes et sociologues ».

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Parution d'un nouvel ouvrage OHADA : Les créanciers chirographaires en procédure collective en droit OHADA

Cet ouvrage explore en profondeur le sort des créanciers chirographaires dans le cadre des procédures collectives en droit OHADA, à savoir le redressement judiciaire et la liquidation des biens. Il s'agit de ces créanciers non privilégiés, souvent appelés à subir les conséquences les plus lourdes lorsqu'une entreprise entre en difficulté financière.